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Par Mélinda, le
Histoires coquines

La vie étudiante…

Nouvel inscrit sur Owiii, je me lance pour vous faire partager ma plus croustillante histoire vécue à mon époque étudiante…

Amateur des plaisirs de la chair sans avoir (hélas ?) jusqu’ici basculé véritablement dans le milieu libertin, une aventure d’un soir qui s’est déroulée il y a maintenant plus d’une quinzaine d’années, me donne envie de retenter l’expérience…

L’histoire se déroule lors d’une soirée dans l’appartement d’une copine à moi, une petite brunette de 25 ans à l’époque, soirée à laquelle j’avais invité un copain de faculté. La soirée n’avait rien d’organisée car je passais juste boire un verre au passage chez elle, l’ayant aidé à son déménagement une semaine auparavant.
Et puis de discussion en discussion, nous sommes arrivés à parler de rapports physiques et sur un coup de tête mon amie nous sort du fond de sa bibliothèque un guide illustré du Kamasutra. Sous le coup de l’alcool, nous apportons tout trois nos commentaires sur les différentes positions, mais au-delà de l’humour je sens que les esprits s’échauffent petit à petit… Profitant alors d’un prétexte sur des talents pour prodiguer les massages à mon amie, j’invite mon pote à effectuer un essai sur le canapé de la demoiselle. Ne se faisant pas prier, surtout avec un peu d’alcool dans le nez, elle se met à la tâche en chevauchant mon copain allongé torse nu sur le ventre sur le canapé. Mais ce dernier se révélant de taille un peu « juste » pour être à l’aise, elle nous propose de poursuivre sur son lit, (ou plutôt son matelas posé sur le sol car la chambre n’était pas encore aménagée) et nous ne nous faisons pas prier, demandant pour ma part à être le suivant…

Une fois installés, s’en suit une série de « massages » où je me permets de masser les épaules de mon amie pendant qu’elle-même le pratique sur mon copain. la lumière tamisée, l’alcool et le contact de la peau nous font basculer petit à petit de massages à caresses, nous nous retrouvons vite tous les trois en sous-vêtements !

A partir de là notre trio a franchi le seuil de la soirée libertine… Je me souviens d’un enchaînement de positions où nous explorions avec mon pote de nos mains et nos bouches simultanément le corps de notre hôte dénudée, qui, prise par l’excitation de la situation, se décida à débuter une fellation à mon copain pendant que j’explorai son intimité avec mes doigts puis ma langue…
Afin de ralentir la montée de l’excitation de mon ami, elle inversa les rôles et s’affaira sur mon sexe pendant que mon copain se calma en repartant pour des caresses intimes…

Quel plaisir que de sentir cette fabuleuse pipe (prodiguée avec expérience je dois dire) par mon amie exprimant en même temps des soupirs de plaisirs de par les caresses qu’elle recevait !

Avant de jouir trop rapidement, je demandai de « changer les rôles » encore une fois. S’affairant à nouveau sur mon copain je ne tardai pas à demander à notre hôte un préservatif, car ce joli derrière ne pouvait pas rester inoccupé plus longtemps ! Elle mit en suspend la pipe à mon pote et après un bref aller-retour à la salle de bain me donna une boîte contenant mon passeport pour le plaisir de la pénétration.

Alors que je me préparais à attraper ces jolies hanches pendant qu’à quatre pattes elle refaisait monter la pression à mon collègue, je sentis mon amie faire un bond en arrière, se dégageant soudainement de sa posture ! Je compris à ce moment-là que mon copain n’avait pu se retenir et mon amie, aussi gourmande soit-elle, n’était pas fan du fait d’avoir de la semence dans la bouche ! Mon collègue se mit alors à se confondre en excuses pendant que mon amie allait se rincer la bouche dans la salle de bain. Mais tout ceci ne fit pas abandonner notre libertine d’un soir qui se remit à la tâche sur moi, me prévenant tout de même de ne pas faire pareil ! Non rancunière, elle tourna encore une fois pour essayer de « ranimer » mon pote, et je profitais alors de me remettre en position pour une petite levrette tant attendue… Je crois que les circonstances eurent raison de ma retenue car je ne tarda pas à jouir en elle avant que mon copain ait pu reprendre des forces, surtout que mes coups de boutoir rendaient moins précis le travail de notre amie !

Nous finirent donc ainsi, écroulés tous les trois sur le lit, nous demandant encore comment nous étions arrivés à cette situation. En tous cas j’en garde un très bon souvenir, déjà de par le fait qu’aucun lien entre nous ne fit remonter de la jalousie ! Et depuis ce temps-là, l’idée d’une relation plus poussée en trio (ou +) me trotte en tête, mais hélas celle-ci n’étant pas partagée par mes partenaires régulières jusqu’ici…

Marc.

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